Claude et Virginie attaquent à l'aube et continuent de poser les fixations sur les plafonds de l'étage jusqu'à l'heure du déjeuner, puis Claude continue seul car Virginie doit retourner peindre l'appartement.
A la fin de la journée, il a posé toutes les fixations et aussi les rails de la chambre parentale, de la salle de bain et de la chambre de notre fifille.
Ce n'est pas une tache facile car nous lui avons imposé un système de pose plutôt compliqué. En effet, notre toit étant plat, l'isolant et la pare-vapeur affleurent directement sous le plafond, au lieu de ramper sous le toit. De ce fait, Claude ne peut poser ses fixations directement sur les côtés des solives comme cela se fait habituellement, car celles-ci sont recouvertes par le pare-vapeur. Nous lui avons donc demandé de visser des pitons sous les solives, enduites de mastic pour assurer l'étanchéité. Puis il doit visser des fixations dans les pitons, les mettre à niveau sur toute la surface du plafond et ensuite y clipser les rails. Un travail de précision qu'il effectue seul, par manque de main d'œuvre. Une "Ola" bien méritée pour Claude !!
Lionel et Jérémy arrivent dans l'après-midi et continuent de fermer les coffres du plancher et de placer des entretoises dans les coffres, pour empêcher les solives de vriller.
Puis ils posent les premiers chevrons qui relient le plancher bois à la dalle béton. Et là, ils touchent du doigt le problème que l'on pressentait depuis les début du projet: les deux dalles ne sont pas au même niveau. Pas un chevron n'est d'aplomb.
Impossible, dans ces conditions, de poser un revêtement de sol sur la jonction entre les deux dalles, car cela ne sera pas stable dans le temps. Nous réfléchissons à plusieurs solutions: 2 planchers distincts ? joint de dilatation en inox entre les 2 ? joint de dilatation en bois ? revêtement de sol mou ? Si vous avez des idées, laissez-nous un commentaire !
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